Accueil Voix de la terre

Un effet collatéral positif sur l’agriculture

Qui aborde l’agriculture s’intéresse aux sciences « BCBG », l’acronyme signifiant ici « Botanique-Chimie-Biologie-Génétique ». Le point commun entre ces quatre sciences, c’est l’ADN. Cet acronyme-là, tout le monde le connaît. Il n’est pas une série policière où l’on ne parle pas de trace d’ADN. Même notre bon roi Albert II en sait quelque chose…

Depuis Mendel, les sélectionneurs ont compris ce qu’est le génome et proposent de nouvelles variétés tous les ans. Avec leurs pinces à épiler et autres astuces techniques, ils croisent le pollen d’une plante avec une autre en espérant que le rejeton soit plus performant que la génération qui l’a précédé.

Depuis, les connaissances ont permis de décortiquer ce génome et d’identifier le moindre segment qui génère la plus petite propriété, notamment de défense contre les parasites.

L’ADN, c’est aussi le point...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

A lire aussi en Voix de la terre

Les enfants de la ferme

Voix de la terre - « Regarde  !  » me lance ma mère. Dans la main, elle tient l’édition multicolore des stages de l’été 2025 organisés par la commune. « Oh lala, ça a l’air tellement bien » ! continue-t-elle de s’enthousiasmer. Je l’entends tourner quelques pages du petit manuel avant de s’arrêter brusquement. Elle doit sans doute être en train de lire frénétiquement un des stages. Bingo. « Ah  !  ». Elle vient de trouver le Graal, c’est certain.
Voir plus d'articles