Si la «sociétémère» est moulée sur le modèle de coopératives (avec trois coopérateurs), les porteurs du projet ont cloisonné juridiquement toutes les activités présentes sur l’exploitation. Si cela a pour conséquence une complexification administrative et juridique de la structure, la manœuvre a pour avantage une certaine résilience vis-à-vis des échecs ou des succès des différents entrepreneurs.
Vu que la société apporte des services à ses partenaires, elle a des parts dans la plupart des ces sociétés.
Par ailleurs, Froidefontaine travaille à la mise sur pied d’une société qui commercialiserait des produits d’autres producteurs, afin que ceux-ci puissent chercher d’autres capitaux ailleurs.»
Elle essaye également de centraliser la recherche de financement pour des indépendants en milieu rural. Un challenge important mais essentiel pour l’entrepreneuriat rural.
