Suite à l’article intitulé « La difficile cohabitation entre arboriculture et apiculture » publié dans Le Sillon Belge du 29 septembre dernier, je me dois de réagir.
Après toute une série de considérations techniques, le signataire précise favoriser la pollinisation par les abeilles sauvages et/ou le vent. Il oublie que les colonies d’abeilles sauvages sont constituées de faibles populations évaluées à quelques dizaines d’individus. En ce qui concerne le vent, la pollinisation ne peut se réaliser qu’avec des pollens poudreux et non gras comme c...
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