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Irbab, coin de champs et ateliers

Le mercredi 12 juin et le vendredi 14 juin, l’Institut betteravier organise une visite d’essai à Bierbeek

et des ateliers « betteraves et céréales » à Wasseiges.

Temps de lecture : 2 min

Deux rendez-vous sont au programme des betteraviers en ce début juin.

D’abord le mercredi 12 juin, où il sera question de désherbage en culture de betteraves aujourd’hui et demain. Au programme :

– commentaires sur les résultats d’essais : peut-on intégrer le désherbage mécanique dans le désherbage traditionnel ? Avec quelles machines ? Quel est le résultat ? Quelles buses anti-dérive conviennent au désherbage ? Comment les utiliser ?

– protéger l’eau des pollutions ponctuelles et diffuses : zones tampon, mesures de réduction de la dérive, remplissage et rinçage du pulvérisateur.

Rendez-vous à 10h (en néerlandais à 13h30), au croisement de Bevekomsestraat et St.-Joris Weert-straat, 3360 Bierbeek, coordonnées GPS du champ : 50º48’51.8 » N 4º45’13.3 » E.

Plus d’infos : www.irbab-kbivb.be ; info@irbab.be ; 0472/36. 21. 54.

Vendredi 14 juin à 13h30 : coin de champ, atelier betteraves et céréales

Chez Olivier Gathy, 3 ateliers :

– atelier 1 : froment et blé dur d’hiver, tolérances variétales, observations des maladies, différences parcelles traitées/non traitées ;

 atelier2 : escourgeon, tolérances variétales, observations des maladies ;

– atelier 3 : betterave, le point sur les ravageurs, le contrôle des maladies foliaires, discussion sur la betterave bio.

Clôture de l’après-midi par petite restauration (sur réservation) avec la participation du Club des jeunes d’Acosse.

Rendez-vous à 13h30, rue de Hannêche 6, 4219 Wasseiges, avec la collaboration des Ceta de Ciney et du Comice du Condroz.

Infos et réservation : oliviergathy@hotmail.com, 0477/97.42.66.

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Son propre maître? Vraiment?

Voix de la terre Un agriculteur, dit-on, est son propre maître. Légende ou réalité ? Chaque matin, il se lève avec un plan de travail en tête, un schéma mental qu’il a dessiné lui-même, que personne ne lui a imposé, ni un patron, ni un chef de chantier ou un quelconque directeur. Il organise sa journée comme bon lui semble, sans limites ni obligations. Vu de l’extérieur, notre métier semble baigner dans une forme de liberté absolue, mais au-delà des apparences, des obligations de résultat déterminent le parcours à accomplir. C’est particulièrement vrai en ce qui concerne l’agriculture contractuelle, forme moderne et pernicieuse de servitude paysanne.
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