Accueil Archive

« Les tergiversations du

fédéral ont sapé la solidarité dans le secteur de la volaille »

Qui de l’œuf ou la poule est arrivé le premier ? L’éleveur de volaille et négociant en œufs, Stefaan Verhelle, de Wingene, ne connaît pas la réponse. Pour lui, un œuf est avant tout un produit économique. « Raison pour laquelle nous avons besoin de la poule ! Et si vous en prenez bien soin, vous aurez de bons œufs. » Retour sur une aventure humaine, sur l’esprit d’entreprise et sur la durabilité d’une exploitation que le fipronil et la grippe aviaire ont gravement affecté, comme tout un secteur.

Stefaan Verhelle et son épouse Hermine Steenhuyse sont des aviculteurs dans l’âme. Et pourtant, sans son amour pour Hermine, Stefaan aurait probablement travaillé dans un autre secteur et dans une autre fonction. « Je suis le fils d’un fermier », explique l’aviculteur. « Mes parents avaient une ferme mixte à Pittem avec du bétail, des cochons, des poulets de chair et des cultures légumières. » S’il s’est intéressé davantage aux légumes fins, comme la mâche et le persil, il a préféré se diriger dans le secteur avicole....

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique

La Une

Les Belges mangent de moins en moins de poires

Conso Les Belges mangent de moins en moins de poires et cette tendance se confirme depuis plusieurs années, regrette la coopérative belge BelOrta qui annonce lundi le lancement prochain d’une action visant à inciter les Belges à renouer avec un fruit qui est un fleuron national. La Belgique, et plus particulièrement le Hainaut, a en effet été considérée dès le 18e siècle comme le berceau de la poire moderne «fondante» ou «beurrée».
Voir plus d'articles
Le choix des lecteurs