technico-économiques.

La tonte des lignes de plantation et le travail mécanique du sol restent les deux seules méthodes alternatives appliquées. Elles connaissent des « impasses techniques », parfois insurmontables.
Des impacts économiques sont aussi relevés par le selon le Centre technique français. Le désherbage mécanique entraîne des pertes de rendement, chiffrées à 840 €/ha (10 % de pertes) à 3.680 €/ha (20 % de pertes) pour la pomme ; 1.600 €/ha à 3.200 €/ha pour l’abricot ; 587 €/ha à 1.173 €/ha pour la noix. Des charges supplémentaires apparaissent : 62 €/ha/an à 206 €/ha/an pour la tonte des rangs de plantation ; 193 €/ha/an à 470 €/ha /an pour le travail du sol.
Ces deux alternatives présentent des risques en matière d’adventices, de nuisibles.
Par ailleurs, les ressources en main-d’œuvre qualifiée et le parc matériel existant ressortent comme des facteurs limitants.
