
Ces techniques, sur lesquelles l’Union européenne se prépare aussi à prendre position, ont, selon George Eustice, « la capacité d’exploiter les ressources génétiques que la mère nature a fournies, afin de relever les défis de notre époque : la sélection de cultures plus performantes, la réduction des coûts pour les agriculteurs et des impacts sur l’environnement, et nous aider tous à nous adapter aux défis du changement climatique ».
Ladite consultation publique court jusqu’au 17 mars. Elle ne s’applique qu’à l’Angleterre, l’Écosse, le Pays de Galles et l’Irlande du Nord ayant leurs propres systèmes réglementaires. À l’issue du processus, et en fonction du résultat, une législation sera proposée et examinée par le Parlement britannique.
Le principal syndicat agricole du pays, la Nfu, s’est déjà dit favorable à l’autorisation de ces techniques d’édition génétique qui présentent, selon lui, de nombreux avantages.
