Car la pandémie n’est pas le seul problème qui pèse sur l’agriculture américaine.
L’industrie est également aux prises avec un climat qui change rapidement, un pouvoir des entreprises incontrôlé, une offre excédentaire persistante, un racisme institutionnel, une population vieillissante et une infrastructure de transformation locale insuffisante.
Et c’est donc à un dialogue très important entre deux acteurs majeurs de l’agroalimentaire que Tom Vilsack a appelé de ses vœux à l’occasion de son laïus face aux eurodéputés.
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