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Très peu de pucerons

Les organismes actifs au sein du Centre pilote maïs ont remis en place un réseau d’avertissement avec un suivi de parcelles dans les différentes régions. Ces suivis sont réalisés par les organismes actifs dans le cadre de la cellule vulgarisation du Centre pilote en culture de maïs de la Région Wallonne.

Temps de lecture : 2 min

Sur chacun de ces sites, des identifications et comptages de pucerons sont effectués sur 3 répétitions de 3 variétés communes pour chacun des sites des 2 grandes zones (Moyenne Belgique d’une part, Sud Sambre et Meuse d’autre part).

Après une première décade d’avril froide et humide, les premiers semis de maïs ont pu se dérouler dès le 17 avril sans discontinuité sous de bonnes conditions, chaudes et sèches. Grâce à l’humidité encore bien présente dans le sol, la levée des maïs semés durant la seconde quinzaine d’avril a été assez régulière. Par contre, l’absence de pluie depuis le 10 avril a ralenti l’émergence des maïs implantés après le 1er mai a fortiori si la graine n’a été déposée dans l’humidité.

Pour les parcelles semées entre le 17 et 25 avril, on rencontre des plantules de maïs se situant entre la 5e et la 6e feuille visible.

Vu que les populations de pucerons ne peuvent se développer sur les maïs de moins de 4-5 feuilles visibles (présence de Dimboa), des observations n’ont été effectuées que sur des sites ayant atteint ou dépassé ce stade.

Malgré leur présence dans d’autres cultures, actuellement, sur base d’observations en Wallonie dans les champs où les plantules de maïs ont atteint 5 feuilles, les pucerons restent quasi absents sur les plantules de maïs.

D’après la cellule vulgarisation

du Centre pilote en

culture de maïs

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