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Nos amis à quatre pattes

Temps de lecture : 2 min

Je suis vraiment reconnaissante envers Marc Assin pour la teneur de sa Voix de la Terre publiée dans Le Sillon Belge du 9 mars. Il rendait justice – si l’on peut dire – à nos animaux domestiques pour ce qu’ils nous dispensent.

Chacun a son ressenti, c’est sûr ! Mais moi, je suis assez « addict » de leur présence réparatrice. Que ce soit les chiens ou les chats, la vie est bien plus agréable à leur contact ! Je pense particulièrement à Pompon, à Leo, à Cornetto, à Sissi, à Panda, à Lilou, à Dannette, à Fanny, à Oilily, ou à Blueblue. Les chevaux, les moutons et même les bovins et les caprins… sont aussi autant de beautés de la Nature qui rendent l’environnement agréable. Préserver leur vie de souffrances inutiles doit être notre leitmotiv en toutes occasions. « Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien », citait Lamartine.

Puis-je reprendre d’autres phrases qui illustrent l’amour et l’amitié qui me lient à mes compagnons de tous les jours. Entendu dans la bouche d’une moniale orthodoxe : « Dans la religion orthodoxe, les animaux ne sont pas censés aller au Paradis après leur mort. Il faut d’autant plus leur offrir pendant leur existence une vraie qualité de vie ». Giacometti, lui, disait : « Dans un incendie, si je dois sauver un Rembrandt ou un chat, je sauverais un chat ». Gandhi : « La grandeur d’une Nation se mesure au respect avec lequel on traite les animaux ».

« On fait payer un lourd tribut aux animaux. Sans Nature, pas de futur parce que tout est lié. Protéger et aider les animaux n’est pas la preuve d’une sensiblerie déplacée mais bien une preuve de respect envers l’ensemble du monde vivant. S’intéresser au sort des animaux ne rabaisse pas l’homme que du contraire. Cela correspond à la véritable dimension de l’homme », N.H.

J’adresse mes remerciements tout spéciaux à Marc Assin pour la bienveillance qui transpire de ses textes. Merci beaucoup.

Marlène André

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