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« La ferme doit s’adapter

aux ressources naturelles

existantes »

La liqueur bleutée de l’air donnait des frissons à l’horizon, ce printemps et son armée en marche des couleurs entraînant une joie diffuse, celle qui traverse la journée et réveille un consentement à vivre. Des pages de lumière se tournent, la rue pentue dégringole vers les prairies constellées de perles de fleurs et de haies vives. À Feschaux, et au bout c’est la France.

C’est au cœur de ce petit village posé dans la nature beaurinoise, que Thibaut Goret mène son activité agricole, fruit d’une passion pour l’élevage depuis une enfance qu’il qualifie de « joyeuse », peuplée de lapins, moutons, chèvres et d’ânes.

De conseiller en MAEC à agriculteur

Devenir lui-même agriculteur sera donc une évidence rêvée qui deviendra réalité à l’âge de 35 ans, après avoir obtenu un diplôme d’ingénieur agronome à l’UCL où il décroche, dans la foulée, un premier emploi de conseiller en méthodes...

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Attention au retour de flamme

Voix de la terre Mi-août, mi-été, mi-automne. La journée, les chaleurs sont encore accablantes, tandis qu’en soirée on hume déjà le doux parfum de l’automne avec son air typiquement humide. Les premières feuilles se renouvellent progressivement, en passant du vert aux couleurs chaudes d’un coucher de soleil.
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