Accueil Archive

Meilleur fromage fermier

au lait cru de Wallonie

Les prix de cette 8e édition du concours ont été remis aux lauréats le18 novembre à la Bergerie d’Acremont. Malgré le contexte sanitaire particulièrement difficile de ces derniers mois, les organisateurs avaient tenu à maintenir cet évènement fédérateur pour le secteur du lait cru.

Temps de lecture : 2 min

Les élevages de ruminants, en particulier les ovins, sont durement touchés par la maladie, avec d’importants taux de mortalités et des pertes de rendement conséquentes. Les laitiers semblent par ailleurs davantage impactés.

Renforcer un secteuren pleine évolution

Ce contexte, bien connu des organisateurs, a bousculé la tenue du concours. Néanmoins, avec 19 fermes participantes pour un total de 48 fromages, cette édition reste un succès. Pour Peter De Cock de la Bergerie d’Acremont, c’est un événement qui vise à renforcer un secteur en pleine évolution. Notre objectif est avant tout de renforcer les capacités et de créer des liens forts au sein de la communauté du fromage au lait cru.

Tous les candidats reçoivent une analyse technique pour chaque fromage présenté ainsi qu’un commentaire du jury organoleptique composé d’experts du secteur. Tous sont par ailleurs conviés à une journée de formation et de réseautage pour challenger leurs techniques de production et rencontrer des spécialistes du secteur actifs dans différents domaines.

Catégories et lauréats

Pour l’édition 2024, le jury, composé d’un panel de professionnels (fromager, représentant de l’Horeca, formateurs…) a mis à l’honneur les candidats suivants :

– Catégorie « Fromage frais » : Hélène Jonette de Laitalage d’Hélène (Couvreux) ;

– Catégorie « croûte fleurie » : Claire Joly de la Chèvrerie des cerisiers (Quévy-le-Petit) ;

– Catégorie « Fromage à pâte pressée » : Zoé Roger et Cyrille Larock de la Ferme du Vivier (Rotheux).

La Une

«Simplifier pour… mieux détricoter!»

Economie Alors que les excès tapageurs de Donald Trump suscitent l’indignation internationale, c’est dans un silence feutré que se mène, au sein du parlement, une offensive tout aussi inquiétante contre les ONG. Plus sourde, plus insidieuse, cette dynamique est néanmoins bien réelle. C’est la position de l’écologiste Saskia Bricmont, qui observe depuis plusieurs mois une lente érosion de l’espace dévolu à la société civile et un recul des ambitions sociales et environnementales.
Voir plus d'articles
Le choix des lecteurs