– une rotation (fréquente) avec du maïs, surtout maïs grain ou du ray-grass. L’incorporation de matière non digérée est un facteur aggravant ;
– défaut de structure du sol, suite aux récoltes effectuées dans des conditions humides, même au cours des dernières années ;
– présence de rhizoctone brun en betterave.
L’utilisation d’une variété tolérante atténue fortement la présence de betteraves pourries, mais ne l’exclut pas totalement ! Il s’agira de choisir le bon niveau de résistance.
Chaque année, l’Irbab étudie la tolérance au rhizoctone brun dans des essais spécifiques infectés naturellement. L’observation pendant la saison et la cotation de la pourriture de toutes les racines récoltées de l’essai permet de déterminer la tolérance à cette maladie. En la matière, la figure 7 ci-contre permet de préciser son choix.
