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La foule aux yeux d’or

Alors, combien de visiteurs cette année à Libramont ? Cent nonante, deux cents, deux cent vingt mille ? Quel chiffre sera-t-il avancé fièrement, claironné haut et fort lorsque les derniers lampions de la grande fête estivale de l’agriculture se seront éteints ? Un nouveau record sera établi, nul doute à ce sujet, car l’événement, entre foins et moissons, rencontre un succès grandissant et ne cesse d’enfler démesurément.

Alors, combien de visiteurs cette année à Libramont ? Cent nonante, deux cents, deux cent vingt mille ? Quel chiffre sera-t-il avancé fièrement, claironné haut et fort lorsque les derniers lampions de la grande fête estivale de l’agriculture se seront éteints ? Un nouveau record sera établi, nul doute à ce sujet, car l’événement, entre foins et moissons, rencontre un succès grandissant et ne cesse d’enfler démesurément.

« Libramont » et « foire » sont devenus deux mots indissociablement liés, comme Bastogne et...

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Courrier des lecteurs : la laine, à double fil

Voix de la terre Du temps de ma grand-mère, il était de coutume d’aller chez la couturière pour faire « piquer » une couverture. Un tissu de qualité avec souvent des motifs floraux et à l’intérieur, une belle laine. L’ensemble était grillagé d’une multitude de points de couture afin de retenir uniformément la laine sur toute la couverture. De qualité, chaude et lestée, chaque couverture piquée était ainsi un beau produit artisanal et unique.
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