Accueil Voix de la terre

Balade miroitante entre Warsage et Berneau

Tout au long de la piste pédo-cyclable, j’ai trouvé des canettes de soda, de bière, entières ou déchiquetées par la fauche des abords, du polystyrène (frigolite) en pagaille, des éléments pratiquement éternels, une lavette en intissé, des sacs en plastique dont un PMC bleu tout à fait vide. Ce sac a servi à contenir l’essentiel des déchets ramassés : plus d’une cinquantaine de canettes et bouteilles en plastique...

Je n’ai pu résister à l’appel de ces déchets sauvages tant ils me provoquaient. Je les ai ramassés. Pourtant, toutes les raisons sont bonnes pour les laisser là où ils gisent : « ils sont sales, ils ne sont pas à moi, personne ne m’oblige à les ramasser… »

Comment éduquer les inéducables ?

Pourtant, je me sens tout à fait concernée selon l’adage que la ville appartient à celui/celle qui la regarde ! Sur ce tronçon, il y a eu dans le temps...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

A lire aussi en Voix de la terre

Autopsie d’une ferme

Voix de la terre Il suffit de 8 secondes pour qu’un amphithéâtre de 4.000 places soit à guichets fermés lorsque Philippe Boxho, le plus célèbre des médecins légistes, annonce une conférence. Autant de personnes avides de l’écouter religieusement. J’imagine bien les réactions métaboliques du public : pupilles dilatées et dispnées lors des détails les plus visqueux de ses autopsies. À la sortie, un auditoire rassasié d’avoir pu voir jusqu’où l’espèce humaine est capable d’aller lorsqu’elle est en difficulté.
Voir plus d'articles