Space: le secteur de l’élevage doit croire en l’avenir

Du 12 au 15 septembre, le Space a battu son plein dans un contexte plus positif que les années précédentes. Un bon cru donc pour le trentième anniversaire du Salon qui a vu ses 4 journées rythmées par des concours, des conférences, la présentation d’innovations, des visites d’élevage et les échanges nationaux et internationaux…

L’heure était à l’acalmie, à la sérénité. Le taux de fréquentation est d’ailleurs revenu à son meilleur niveau. - P-Y L.

L’espace pour demain, dans sa nouvelle mouture, a présenté des pistes de solutions pour réduitre l’astreinte et rendre le métier d’éleveur plus attractif. - P-Y L.

La Simmental, race à l’honneur, a suscité beaucoup d’intérêts auprès des éleveurs. - P-Y L.

Les organisateurs ne peuvent être que satisfaits de leur bilan. Si le niveau des exposants s’est maintenu au niveau des années précédentes, soit 1.441 exposants dont 499 internationaux (1.445 en 2016, 1.441 en 2015), le taux d’affluence des visiteurs a quant à lui côtoyé celui des meilleures années qu’étaient 2013 et 2014. Avec 114.653 visiteurs, dont 14 029 internationaux de 128 pays, la progression du visitorat total est de 12 % par rapport à l’an dernier.

« Nous avons même connu une...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique

A lire aussi en Elevage

La ferme Malfalise a transformé les anciens bâtiments pour y accueillir 200 porcs.

Offrir une seconde vie aux étables vides en engraissant des porcs sur paille!

Porcs 10 Avril 2025

Utiliser des bâtiments déjà existants, mais inoccupés, pour accueillir des porcs et, de cette manière, ajouter une nouvelle corde à l’arc de son exploitation agricole : c’est ce que propose « Porc sur paille ». Lancée et coordonnée par Jean-Philippe Falque, cette filière s’occupe de trouver les porcelets, d’envoyer les bêtes à l’abattoir, et de la commercialisation auprès des artisans bouchers. Un service « clé en main » qui a séduit la ferme Malfalise. Spécialisée en grandes cultures, la famille Tavernel se charge d’engraisser 200 cochons, qui prennent désormais place dans les anciennes étables.