La faute à qui?
La semaine avant Pâques, un article du journal Le Soir (du 16 avril dernier sous la plume de F. Delepierre) tentait d’expliquer au grand public les difficultés rencontrées par le secteur bio pour atteindre ses objectifs. Alors, la faute à qui ? À quoi ?

Le journaliste interroge des acteurs de la filière et dégage 5 axes de réflexion : l’organisation du marché, une formation spécifique insuffisante, pas assez de communication, un manque de soutien financier et la différence de prix.
La semaine suivante, dans Le Sillon Belge, je lis plusieurs publications illustrant indirectement le sujet : dans la voix de la terre, Marc Assin témoigne des difficultés rencontrées par un agriculteur de ses connaissances (conventionnel puis bio). Valérie Neysen fait l’autopsie du métier d’agriculteur...
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