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Deux fois moins d’abeilles, c’est dramatique!

Mais à ces mots, dans le monde agricole, on se dit : « Dix fois moins d’agriculteurs et demain vingt fois moins, ce n’est pas grave ? Et nous serions « présumés coupables de tous les maux ». Pourtant, il existe des agriculteurs-apiculteurs. David Jonckheere, dans le Sillon du 9 mars dernier, a bien expliqué la compatibilité entre ces 2 passions. Le problème des abeilles est multifactoriel.

Alors oui, ces sympathiques insectes sont obligés de butiner des fleurs arrosées par des pluies acides, chargées de métaux lourds. Elles doivent respirer l’air pollué par le Kérosène des avions emmenant les bien-pensants en vacances tout en se fichant cette fois de la planète.

Pendant ce temps, les agriculteurs travaillent pour un salaire de misère. (Le prix du blé est bien moins élevé qu’il y a 60 ans !). Soucieux de l’environnement, les fermiers n’emploient plus les néonicotinoïdes qu’en très petite quantité sur l’enrobage des graines de...

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