Une fois n’est pas coutume
À ma grande surprise l’article « Les vampires des labos » de Marc Assin m’a laissé perplexe et, une fois n’est pas coutume, cela m’a semblé manqué d’objectivité. Son complément dans « Trop de gens nous aiment » conforte mon avis. Visiblement, ses souvenirs macabres de lutte contre la brucellose façonnent son opinion.

À ma grande surprise l’article « Les vampires des labos » de Marc Assin m’a laissé perplexe et, une fois n’est pas coutume, cela m’a semblé manqué d’objectivité. Son complément dans « Trop de gens nous aiment » conforte mon avis. Visiblement, ses souvenirs macabres de lutte contre la brucellose façonnent son opinion.
À cette époque, j’étais gamin et je me souviens plus du travail de contention pénible pour faire la prise de sang dans la jugulaire, dans de vieilles étables entravées, que du stress engendré par l’attente du résultat...
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