Accueil Archive

La Commission cherche toujours

à se débarrasser des stocks

Temps de lecture : 2 min

La Commission européenne continue de chercher à se défaire des stocks de poudre de lait issus de l’intervention publique mais pas à n’importe quel prix.

Toutes les propositions déposées dans le cadre du dernier appel d’offres ont ainsi été rejetées, le 14 décembre à l’occasion de la réunion du comité permanent sur l’organisation commune des marchés, la Commission comme les États membres jugeant les prix bien trop bas par rapport à ceux du marché.

La prochaine date limite pour le dépôt des appels d’offres est fixée au 16 janvier, mais la Commission pourrait prochainement décider de doubler leur nombre (à deux fois par mois au lieu d’une) afin de stimuler les ventes.

L’institution européenne a également proposé, le 14 décembre, de mettre en vente de nouveaux volumes de poudre de lait issus de l’intervention dont le stockage a été réalisé depuis le 1er avril 2016 afin de susciter davantage d’intérêt chez les acheteurs pour un produit « plus frais ». La quantité totale disponible serait d’environ 100.000 t.

La Commission européenne est en train de finaliser le nouveau règlement qui portera à partir du 1er mars à zéro le plafond 2018 des achats à prix fixe dans le cadre de l’intervention publique sur la poudre de lait écrémé, contre 109.000 tonnes habituellement. Elle lancera si besoin des appels d’offres pour intervenir ponctuellement sur le marché.

La Une

Chez Claas Industrietechnik GmbH, à Paderborn (Allemagne): rigueur et précision ne laissent aucune place aux défauts

Equipements Moins connu que les usines du Mans (tracteurs) et d’Harsewinkel (moissonneuses-batteuses), le site de Paderborn revêt pourtant une importance cruciale pour Claas. C’est en effet là que sont assemblées les transmissions à variation continue de type EQ. D’autres éléments, tels des systèmes de télégonflage, trains de chenilles TerraTrac…, sont également conçus sur place.
Voir plus d'articles
Le choix des lecteurs