Selon la fédération française des producteurs d’oléoprotéagineux, « entre infestations larvaires massives, asphyxies liées au record de pluviométrie hivernale, gels et manque de soleil, le potentiel de rendement du colza pourrait bien être affecté sur une bonne partie des surfaces cultivées cette année dans l’Hexagone ».
L’épisode de froid intense, accompagné de vent d’est, durant les trois derniers jours de février, a fait craindre le pire pour les cultures d’hiver. Sur ce point, le constat est plutôt rassurant.
Par contre, l’excès de pluie a...
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