à récolter de fin juillet à fin septembre
ne pas planter au jardin les variétés adaptées à ses besoins ?

On peut se demander pourquoi une image aussi négative est donnée dans le langage populaire à ce fruit savoureux : il a peu de valeur (« travailler ou compter pour des prunes »), il est dangereux (« recevoir un pruneau dans le buffet »), il est synonyme d’amende (« avoir eu une prune »)… Et l’arbre lui-même n’est pas mieux loti puisqu’être soumis à des cahots violents se dira « être secoué comme un vieux prunier ».
À l’inverse, plusieurs variétés de prunes ont été...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique