Après analyse du cliché, un spécialiste de l’Office national français de la chasse et de la faune sauvage certifie qu’il s’agit bien d’un individu de l’espèce loup sur base des éléments suivants : le masque facial, la ligne dorso ventral en contraste, la queue assez courte et la démarche « foulée ».
En cas de dégâts ?
À titre préventif, l’arrêté du 8 octobre 1998 relatif à l’indemnisation des dommages causés par certaines espèces animales protégées a déjà été étendu aux dégâts éventuels causés par un loup.
« Le loup est une espèce protégée au niveau européen. Cette disposition légale permettra de prévenir des situations conflictuelles liées à des dommages occasionnés par le loup à l’élevage wallon. Par ailleurs le loup ne présente pas de danger pour la sécurité des personnes », rappelle René Collin.