et la première
ministre britannique,
le nouveau report « flexible » du Brexit jusqu’au 31 octobre écarte provisoirement le risque d’un divorce brutal que redoute notamment le secteur agricole et alimentaire européen compte tenu de l’ampleur des échanges avec le Royaume-Uni.

Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique