
Le Bureau en charge de la météorologie auprès du gouvernement australien a tiré la sonnette d’alarme, le 29 septembre dernier : le phénomène climatique La Niña à l’échelle du globe a dépassé le niveau maximal de mise en alerte et est entré dans une phase active. La Niña se traduit par une diminution de la température à la surface des eaux de l’est de l’océan Pacifique, autour de l’équateur. Cette anomalie est associée au renforcement des vents alizés : cet air déplace l’eau chaude en surface, produisant des mouvements verticaux...
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