La tolérance variétale exprimée en « pourcentage » !
Jusqu’à l’an dernier, l’Irbab caractérisait la tolérance des variétés aux maladies sous la forme de cotations de 1 à 9, le chiffre le plus élevé correspondant à la situation idéale. Ces cotations reflètaient la moyenne des observations réalisées dans les différents sites d’esais, prioritairement ceux baptisés «observatoires de maladies» – ne font l’objet d’aucune protection fongicide de sorte que les maladies peuvent se développer librement sur les variétés testées.
L’Institut de la betterave tire également parti de l’éventuelle présence de maladies foliaires...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique