Le risque d’introduction du virus de la peste porcine africaine dans les régions non touchées de l’UE par l’intermédiaire d’aliments pour animaux, de matériaux de litière ou de véhicules de transport de porcs vides revenant des zones affectées est certes moindre que via d’autres voies de transmission – comme le déplacement de porcs domestiques vivants ou les contacts entre les sangliers et les porcs domestiques – mais n’est pas pour autant nul, prévient dans un avis publié le 27 avril, l’Autorité européenne de sécurité des aliments.
Les risques les plus élevés de...
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