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Via le transport et l’alimentation…

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Le risque d’introduction du virus de la peste porcine africaine dans les régions non touchées de l’UE par l’intermédiaire d’aliments pour animaux, de matériaux de litière ou de véhicules de transport de porcs vides revenant des zones affectées est certes moindre que via d’autres voies de transmission – comme le déplacement de porcs domestiques vivants ou les contacts entre les sangliers et les porcs domestiques – mais n’est pas pour autant nul, prévient dans un avis publié le 27 avril, l’Autorité européenne de sécurité des aliments.

Les risques les plus élevés de ces voies secondaires de contamination concernent les aliments composés, les additifs alimentaires et les véhicules contaminés. L’Efsa recommande donc dans son avis scientifique le strict respect des processus de décontamination et de stockage pour tous les produits déplacés depuis des zones touchées par la PPA vers des zones non touchées.

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La banane antillaise, un combat exemplaire au cœur de la crise agricole européenne

Economie Au sein d’une agriculture européenne en quête de sens et d’équilibre, la filière banane de Guadeloupe et de Martinique apparaît comme un exemple à la fois vertueux et menacé. Pionnière en matière de transition agroécologique, elle illustre aussi les contradictions d’un modèle agricole soumis à des impératifs environnementaux croissants, sans accompagnement économique à la hauteur. C’est ce qu’explique Agathe Huart, directrice générale du groupe Castri, acteur clef de la filière bananière aux Antilles.
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