Cela s’explique en grande partie par les conditions météorologiques humides et plutôt froides de la période avril-septembre. Les betteraviers ne peuvent pas y faire grand-chose mais cela reste une grande déception de voir que le travail d’une année entière soit si peu payé, malgré les bonnes connaissances agronomiques et l’expertise acquise au fil des ans. De plus, cela vient encore plomber un secteur déjà déprimé par le manque de rentabilité de ces dernières années.
La situation est grave
Depuis la disparition des quotas de...
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