Les quatre pays qui ont eu le plus recours au dispositif totalisent 84 % des volumes stockés étaient pourtant parmi les plus réticents à l’ouverture de cette mesure de marché. À l’inverse, d’autres qui étaient les plus demandeurs (France et Pologne en tête) n’y ont eu que très peu recours. Le dispositif proposé par Bruxelles, dans le cadre de son paquet de mesures visant à soutenir le secteur agricole de l’UE face aux conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, prévoit des aides d’un montant variable selon les morceaux concernés et la durée du stockage (270 €/t pour les demi-carcasses stockées 60 jours, 423 €/t pour les jambons stockés 150 jours par exemple).
