Les cas chez les oiseaux sauvages en mars et avril (environ 600) reculent aussi, en revanche ils restent plus nombreux qu’au printemps 2022. Et, note l’Efsa, le virus a montré des signes de son adaptation aux oiseaux sauvages, affectant fortement les mouettes rieuses et augmentant la mortalité d’espèces sauvages menacées telles que le faucon pèlerin.
Cette épidémie en cours chez les mouettes rieuses, dont beaucoup se reproduisent à l’intérieur des terres, pourrait « augmenter le risque pour les volailles, en particulier en juillet-août, lorsque les oiseaux se dispersent des colonies de reproduction ».
