Certaines dépassent le seuil d’intervention de 10 % de plantes portant au moins un puceron. On le sait depuis longtemps, plus une céréale d’hiver lève tôt, plus elle est exposée à l’infestation par les pucerons vecteurs de jaunisse nanisante.
Les analyses virologiques réalisées avant-saison sur des pucerons prélevés en maïs montrent que le virus est également présent dans une partie de la population des insectes. Le CePiCOP conseille dès lors de réaliser un traitement de protection des escourgeons des variétés sensibles à la JNO...
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