Le chant des vignes s’égarait dans cette lumière inusable
et un grain de silence. Loin, le tourbillon de des soucis
et des peines échappe à la ferveur de l’attente.

C’est dans ce petit royaume paisible que Nicolas Ferrara, ingénieur de formation qui travaille dans la marbrerie familiale, s’est un jour pris de passion pour la vigne après que son grand-père arrivé d’Italie en Belgique en 1968, lui ait offert, en 2001, quelques pieds de Schuyler, un cépage résistant canadien, qu’il plante dans son jardin.
Un grand-père bienveillant venu d’Italie
Bien qu’amateur de vins, comme tout italien qui se respecte, celui que Nicolas Ferrara appelle affectueusement « Nonno » considérait...
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