des outils plus larges
Concernant le semis direct en particulier, l’objectif est de perturber au minimum le sol pour limiter les levées d’adventices. Cela implique de travailler à vitesse réduite (5 à 8 km/h). « Pour conserver un débit de chantier similaire à un semis réalisé en techniques culturales simplifiées, il faut nécessairement se tourner vers des largeurs de travail plus importantes », détaille Ludovic Leturque. Ce qui se répercute sur le prix d’achat du semoir.
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