
des responsabilités plus claires pour les agriculteurs (élevage de bétail, exploitations piscicoles et conchylicoles) et les autres parties prenantes (par exemple les vétérinaires) en ce qui concerne la détection précoce afin de prévenir l’apparition de foyers de maladie importants ou la propagation de maladies en vue de limiter les dommages ; ;
une administration simplifiée pour les échanges internationaux de certains animaux vivants et produits animaux (tels que le sperme, les ovules et les embryons) ;
une base juridique plus claire et de meilleurs outils pour permettre aux autorités vétérinaires de lutter contre les maladies transmissibles aux effets potentiellement dévastateurs, en particulier en ce qui concerne la surveillance, le diagnostic et la notification ; ;
une plus grande souplesse afin d’adapter les règles au contexte local et aux nouveaux enjeux, comme les changements climatiques et sociaux ;
la réduction des effets néfastes sur la santé animale et humaine ainsi que l’environnement .
