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Une mise en œuvre pas toujours aisée

En tant que premier maillon de la chaîne, l’agriculteur est confronté à la notion de biosécurité dans son quotidien.

Parfois perçue comme un investissement peu rentable ou une contrainte par certains, elle est basée sur des pratiques simples et de bon sens pour d’autres. Deux éleveurs, l’un wallon, l’autre français, ont éclairé cette notion de leur expérience lors du récent symposium organisé par la Fesass à Bruxelles.

À 57 ans, Yves-Marie Desbruyères a vu peu à peu s’évanouir les fermes de son village de Melles (Tournai) qui en comptait 24 en 1980. « Aujourd’hui, je suis le prochain à disparaître » déplore l’éleveur hennuyer qui possède un troupeau de 195 Blanc-Bleu-Belge et effectue 70 vêlages par an.

Hygiène et qualité du colostrum

Chez lui, biosécurité et gestion du troupeau vont de pair. Et cela commence dès la naissance des veaux et la...

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Une association entre la Fugea et le Centre de Michamps pour la 9e édition du Salon professionnel de l’autonomie fourragère

Elevage Le Salon professionnel de l’autonomie fourragère se tiendra le jeudi 25 septembre à Bastogne. Et pour cette 9e  édition, les organisateurs proposeront un programme alléchant aux participants avec des ateliers ou encore des démonstrations de matériel. De plus, la Fugea s’est associée avec le Centre de Michamps afin de permettre aux visiteurs d’aller sur le terrain en se rendant sur les parcelles.
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