obligé pour chaque exploitant
Ces démarches administratives permettront, notamment, de se conformer aux normes en matière d’infrastructure et de respecter les obligations inscrites dans les certifications liées au lait. Il y a, bien entendu, les guides de l’Afsca, comme ceux pour les productions primaires animales, pour les fourrages, et pour la production et la vente de produits laitiers à la ferme, mais aussi la QFL (Qualité Filière Lait). « Sauf si l’intégralité de la production est transformée à la ferme, cette certification est obligatoire », indique Maggy Estiévenart, responsable de l’organisme de certification indépendant du Carah.
Ces certifications permettent à l’agriculteur de s’assurer du bon respect la législation belge, de l’hygiène et de la traçabilité ou encore du monitoring de durabilité, dont nous avons parlé à plusieurs reprises dans Le Sillon Belge. « Grâce à ces certifications, on sait que l’on produit de la bonne façon. Cela permet aussi de montrer au grand public que la manière de travailler est correcte et conforme aux lois et exigences commerciales en vigueur ».
.