la dessiccation
Attention aux frais de séchage
Les variétés précoces (Chesley, Ec Gisella, Kws Emporio, Kws Marcopolo, Lg32257, Lid2210, Micheleen, Rgt Maxxatac, Sy Calo…) sont passées de 32,8 % à 31,8 % d’humidité en moyenne de 17 sites semés avant le 12 mai, soit une diminution de 1 point.
On note toutefois de grandes différences de maturité selon les régions agricoles. Les maïs, semés en région limoneuse et sablo-limoneuse ouest ainsi qu’en région limoneuse est, apparaissent plus avancés (moyenne entre 28,4 et 31,6 % d’humidité du grain) que ceux présents au centre du pays (34,1 %, en moyenne).
Vu les frais de séchage assez élevés et la cotation du maïs grain humide à 30 % (116 €/t le 4 novembre selon Fegra) relativement faible cette année, il est souhaitable de patienter encore quelques jours avant de récolter, afin de perdre naturellement encore quelques points d’humidité pour les maïs ne présentant pas de sensibilité à la fusariose.
Récoltes en cours pour le grain humide et l’épi broyé
Pour les variétés un peu plus tardives et plus fréquemment valorisées en grain humide (Bismark, Farmirage, Farmoritz, Kliper, Fight, Greatful, Plesant), ces teneurs sont passées de 36,4 % à 35,3 % en moyenne, ce qui représente une perte d’humidité de 1,1 % pour les semis antérieurs au 13 mai. Concernant les maïs implantés au cours de la dernière décade de mai, avec ce type de variétés, les teneurs en humidité sont comprises entre 36 et 39 %.
Pour les agriculteurs qui souhaiteraient valoriser le maïs en grain humide ou en épi broyé, les récoltes sont en cours pour les semis de la première décade de mai.
le 5 novembre











