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Le monde professionnel demande une modification de la législation sur les drones

Deux ans après l’entrée en vigueur de la législation régissant l’usage de drones, le monde professionnel demande déjà des adaptations, pointant du doigt des règles trop strictes. «Nous sommes deux ans en retard sur les pays voisins», a déploré mardi l’organisation sectorielle flamande EUKA (cluster drones). Cette dernière a travaillé avec la Confédération Construction, la fédération du transport Febetra, le Boerenbond et l’association professionnelle des entreprises de gardiennage, à des suggestions visant à améliorer les choses.

Pour Mark Vanlook, responsable de l’EUKA, un drone ne doit pas être perçu comme un objet volant mais plutôt comme un outil, utilisable par exemple au-dessus d’un chantier, d’un champ ou d’un site industriel.

Les applications avec des drones peuvent être multiples: comme moyen de transport, pour réaliser des inspections... En agriculture, un drone peut constater des dégâts, surveiller des cultures, faire fuir des oiseaux... Les secteurs du gardiennage, de la surveillance, de la logistique et de la santé, avec des drones équipés d’un défibrillateur par...

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