Ils ont toutefois déploré «le temps perdu dans un débat où il était important d’appliquer depuis longtemps l’évident principe de précaution, alors que les études les plus alarmistes se multiplient sur le sujet». Relevant que ce changement soudain de position est intervenu quelques heures après l’annonce similaire faite par la ministre flamande Joke Schauvliege, et après plusieurs appels dans ce sens de leur part, les deux ministres régionaux ont rappelé qu’à leurs initiatives respectives, le gouvernement bruxellois avait validé l’interdiction de l’utilisation de pesticides contenant du glyphosate à Bruxelles il y a un peu plus d’un an et que cette interdiction avait été validée par le gouvernement wallon le 30 mars dernier.
(Belga)