Pour faire accepter aux États membres les plus réticents l’idée d’une part de 20% consacrée aux éco-régimes dans le premier pilier, la présidence allemande du Conseil a dû introduire un certain nombre de flexibilités dans le dispositif: 50% (et même jusqu’à 75% pour certains États membres) des fonds destinés aux éco-régimes pourront être transférés vers des mesures environnementales du second pilier.
Autre concession: la simplification des contrôles pour les petites exploitations, notamment dans le cadre de la conditionnalité.