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Découvrir en s’amusant

Temps de lecture : 2 min

Mon grand cahier Montessori des sons et des graphèmes : ce parcours propose plus de 150 activités actives et progressives pour faire découvrir et apprendre aux enfants les sons et les graphèmes simples de la langue française. Avec des autocollants, un alphabet mobile à découper et des lettres rugueuses à fabriquer. De 3 à 6 ans. Larousse, 120 pages.

100 questions stupides mais pas si bêtes : pourquoi dit-on bâbord et tribord sur un bateau, et pas gauche et droite ? Pourquoi a-t-on une bosse quand on se cogne ? Pourquoi la langue colle-t-elle sur un glaçon ? Pourquoi les insectes se jettent-ils sur les lampes allumées ? etc. Stupides comme questions n’est-ce pas ? Ce livre s’emploie à donner du sens à toutes les questions stupides auxquelles nous n’avons pourtant pas toujours de réponses. Avec des réponses drôles ou sérieuses, anecdotiques. À partir de 7 ans. Par Stéphane Frattini, De La Martinière jeunesse, 210 pages.

Musée vivant des insectes : un bel album documentaire grand format aux illustrations très réalistes. Grâce à un mélange de dessins style planche anatomique et style carnet de croquis, les insectes prennent vie. Du plus connu au plus rare, entrez dans le monde de l’infini petit. Cela dans une classification originale : les sans ailes, les ailés, les comestibles, les habillés, les armés, les nageurs, les géants… À partir de 7 ans. Par François Lasserre et Anne de Angelis, De La Martinière jeunesse, 60 pages.

Mon petit livre d’art pour raconter la mythologie : un petit livre d’art pour découvrir, en s’amusant, 59 personnages hauts en couleur de la mythologie grecque et romaine à travers une sélection d’œuvres d’art essentielles. De Achille, la colère, à Vulcain, l’habile, en passant par Iris, la messagère. Dès 6 ans ; Par Aude Le Pichon, Seuil, 130 pages.

La Une

Le désherbage printanier des céréales: à adapter en fonction des adventices et du niveau d’infestation

Céréales Une fois l’hiver terminé, les conditions climatiques redeviennent propices au développement de la culture mais aussi à celui des mauvaises herbes en favorisant leur développement ou en provoquant de nouvelles germinations. Le céréalier devra vérifier l’efficacité des éventuels traitements effectués à l’automne et, le cas échéant, réaliser un traitement de rattrapage adapté. Il devra également choisir un traitement pour la majorité des froments, non pulvérisés à l’automne.
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