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Les industriels

n’ont rien

à craindre

La crise des œufs au fipronil rappelle celle de la dioxine. Mais, les industriels ne doivent pas s’en faire : fin 2013, la fonderie de graisse Verkest, qui était à l’origine de la crise de la dioxine, a été condamnée à verser 100 millions aux fabricants d’aliments pour bétail, somme probablement payée par les assurances. Par contre, ni l’Etat, ni la Région flamande, ni l’Afsca n’ont réclamé les 400 millions auxquels ils avaient droit.

Les industriels n’ont donc rien à craindre. Ils peuvent continuer à nous empoisonner. Allons-y Chochotte, allons-y (jolie...

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A Rumillies, l’homme qui murmurait à l’oreille des peupliers

Filière bois Dans le Tournaisis, Tanguy Duphénieux réinvente un geste agricole aussi ancien que visionnaire : marier l’arbre et la culture. Héritier d’une lignée de populiculteurs, l’agriculteur incarne une agroforesterie wallonne exigeante, enracinée dans la tradition mais tournée vers l’avenir. Loin d’être un simple ornement du paysage, le peuplier devient ici un auxiliaire du vivant, un compagnon du sol et un symbole d’équilibre retrouvé entre production et régénération. Dans le bruissement de ses feuillages se dessine une alliance de raison et de poésie, où l’arbre n’est plus en marge du champ, mais en est le cœur battant.
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