n’ont rien
à craindre
La crise des œufs au fipronil rappelle celle de la dioxine. Mais, les industriels ne doivent pas s’en faire : fin 2013, la fonderie de graisse Verkest, qui était à l’origine de la crise de la dioxine, a été condamnée à verser 100 millions aux fabricants d’aliments pour bétail, somme probablement payée par les assurances. Par contre, ni l’Etat, ni la Région flamande, ni l’Afsca n’ont réclamé les 400 millions auxquels ils avaient droit.
Les industriels n’ont donc rien à craindre. Ils peuvent continuer à nous empoisonner. Allons-y Chochotte, allons-y (jolie...
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