Pour réduire l’érosion,
le sous-semis gagne à être connu
Depuis trois ans, le Centre indépendant de promotion fourragère (Cipf) mène des essais de sous-semis de graminées en culture de maïs avec plusieurs objectifs, dont la réduction de l’érosion des terres agricoles. Si la technique était déjà connue, l’arrivée sur le marché de nouveaux semoirs faciliterait sa mise en œuvre. Reste toutefois à convaincre les maïsiculteurs, une tâche à laquelle s’attelle Gilles Manssens, ingénieur agronome auprès dudit Centre.
Bien qu’encore peu répandu dans nos régions, le sous-semis en culture de maïs, réalisé en vue d’obtenir un couvert hivernal, présenterait plusieurs avantages : réduction du ruissellement de surface, limitation de l’érosion des sols sur les parcelles en pentes et diminution du lessivage hivernal de l’azote résiduel.
De deux à un passage
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