Une décision prise, a-t-il précisé, alors que « l’Europe a fait état d’un retrait d’autorisation pour ces abattoirs, mais manque de raisons techniques pour agir ainsi ». Le Brésil s’efforcera de faire appel devant l’OMC si ce retrait devait être confirmé par Bruxelles, a averti le ministre de l’agriculture, Blairo Maggi. L’État de Santa Catarina, dans le sud du pays, où se trouvent trois des établissements concernés, dirige 15 % de ses exportations de poulet vers l’UE, pour un montant qui, selon lui, a atteint 365 millions $ en 2017...
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