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La sucrerie de Seneffe rencontre ses futurs coopérateurs

La CoBT invite tous les agriculteurs et sympathisants à participer aux réunions qu’elle organise du 18 au 21 juin. Objectif : leur présenter son fonctionnement et les dernières avancées.

Temps de lecture : 2 min

Depuis septembre 2016, un groupe d’agriculteurs betteraviers étudie la construction d’une nouvelle sucrerie coopérative en Wallonie.

Après plus d’un an de travail mettant en évidence l’opportunité unique à saisir dans le contexte difficile de l’abolition des quotas sucriers européens, le « Projet Serres » a été présenté aux agriculteurs lors d’un cycle de 10 réunions d’information (huit en Wallonie et deux en Flandre) durant l’automne 2017. Elles ont rencontré un franc succès, avec plus de 2.600 participants.

À l’issue de ces réunions d’information, environ 1.800 agriculteurs ont marqué leur intérêt à devenir coopérateurs de la future sucrerie coopérative de Seneffe, pour un tonnage de betteraves dépassant les 1.500.000 t. Le seuil à atteindre avait été fixé à 1.400.000 t pour poursuivre les démarches. Six mois plus tard, le « projet Serres » s’est concrétisé sous forme de la « Coopérative des Betteraviers Transformateurs » (CoBT SCRL). Cette coopérative va développer et exploiter la sucrerie de Seneffe, dont la première campagne est prévue en 2021.

Informations

Aujourd’hui, la CoBT a décidé de retourner devant ses futurs coopérateurs, afin de leur présenter son fonctionnement, ainsi que ses derniers développements. Elle invite donc tous les agriculteurs et sympathisants intéressés à participer aux huit réunions d’information (sept en Wallonie et une en Flandre) qu’elle organise du 18 au 21 juin. L’agenda de ces réunions est à lire, par ailleurs, dans les colonnes de la présente édition.

Pour rappel, la CoBT n’a qu’une seule et unique vocation : permettre aux agriculteurs de saisir une opportunité unique de reprendre leur destin betteravier en main, en maîtrisant la transformation et la commercialisation de leur matière première, la betterave sucrière. Avec, en ligne de mire, un seul indicateur : un prix de la betterave rémunérateur.

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