de mi-carrière. Plus que le style retravaillé, un nouveau
moteur diesel biturbo et une nouvelle boîte automatique
à huit rapports apportent un agrément supplémentaire…
Si la face arrière n’évolue que bien discrètement, ce modèle « facelifté » propose une nouvelle calandre désormais détachée des feux avant qui permettra de reconnaître facilement cette mise à jour. Cette nouvelle version inaugure aussi une variante ST-Line qui ne modifie pas la motorisation mais qui se distingue par un style plus dynamique.
Uniquement en diesel
Bien loin du diesel bashing, ce grand SUV aux origines pourtant américaines n’est pas disponible en essence. Il privilégie un quatre cylindres 2,0 l diesel disponible, chez nous, en deux niveaux de puissance et offrant de belles valeurs de couple. La première version de ce bloc répondant aux normes Euro 6 offre ainsi 190 ch pour un couple de 400 Nm tandis que la version biturbo développe 238 ch pour 500 Nm de couple.
Malgré sa masse dépassant les deux tonnes, le Ford Edge (disponible uniquement en quatre roues motrices) propose ainsi des performances raisonnables et une consommation somme toute mesurée. En tout cas, sur les routes enneigées rencontrées lors de cet essai en Suède. La version la plus puissante se voit exclusivement associée à la nouvelle boîte automatique à huit rapports et offre un bel agrément à ce grand SUV.
Plutôt confortable, le Ford Edge présente un vaste habitacle, accueillant cinq personnes et leurs bagages, doublé d’une insonorisation soignée. Son confort s’apprécie encore davantage dans la luxueuse variante Vignale qui fait la part belle au cuir avec des finitions globalement soignées et qui offre un équipement enrichi.