Aux yeux de la loi, le seul intérêt reconnu des tisanes est leur goût. Il existe dès lors une liste des allégations que les tisaniers peuvent employer pour décrire leurs produits, par exemple « tisane apaisante ». Pas question de parler d’un usage médical sur l’étiquette ou encore de prodiguer des conseils médicaux aux clients.
Pour le reste, Marie-Hélène respecte les espèces protégées (comme le bleuet sauvage qu’on retrouve de plus en plus rarement dans les champs) et les zones où la cueillette est interdite ou réglementée.
Les tisaniers...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique