En Wallonie, la faune sauvage (cerfs et chevreuils, sangliers, renards…) fait l’objet d’une surveillance poussée et ce, pour trois raisons. Premièrement, dans le but de détecter l’apparition de nouvelles maladies et, le cas échéant, d’envisager une lutte précoce. Deuxièmement, en vue de déterminer l’importance réelle des maladies présentes et suivre leur évolution afin de proposer ou non des plans de lutte. Et, troisièmement, afin de fournir diverses données permettant de réaliser des études ciblées.
Ces trois missions ont été...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique