La pousse des prairies permanentes françaises accuse un déficit de 18 % par rapport à la valeur de référence (1982-2009), indique Agreste dans une note de conjoncture du 30 août.
Une aggravation par rapport aux chiffres du 20 juillet (-11 %), à mettre sur le compte des « conditions climatiques exceptionnelles (deuxième épisode caniculaire fin juillet suivi de faibles précipitations en août) ».
« Plus des deux tiers des régions fourragères sont maintenant déficitaires et 23 % présentent un déficit important »,...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique