Une aggravation par rapport aux chiffres du 20 juillet (-11 %), à mettre sur le compte des « conditions climatiques exceptionnelles (deuxième épisode caniculaire fin juillet suivi de faibles précipitations en août) ».
« Plus des deux tiers des régions fourragères sont maintenant déficitaires et 23 % présentent un déficit important », précise le service de statistique du ministère français de l’Agriculture.
La région Auvergne-Rhône-Alpes (« la plus affectée par les conditions climatiques »), la Bourgogne-Franche-Comté et le Centre-Val de Loire affichent des déficits pouvant dépasser les 75 %. Seule la façade Ouest est relativement épargnée. En Aquitaine, la pousse de l’herbe est excédentaire par rapport à la valeur de référence.