
Les États membres s’inquiètent en particulier des objectifs très ambitieux en matière de réduction de l’usage et des risques liés aux pesticides (-50 %), de diminution du recours aux engrais et antibiotiques (-50 %) ou de surfaces rendues à la nature (10 %) et se posent des questions sur le recueil des données et le point de départ de ces objectifs. La commissaire européenne à la Sûreté alimentaire, Stella Kyriakides, a précisé que lorsque des objectifs réellement contraignants seront fixés – pour les pesticides, les engrais...
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